Un week-end du 11 novembre à la Fontasse, ça ressemble à ça :
– c’est constater que la mobilité douce, c’est dur
– c’est interrompre des grimpeurs nus en plein shooting photos en haut du plateau de Castelvieil
– c’est prendre sa revanche sur les traces de Gaston… ou y crier son 06 à un pêcheur
– c’est perdre sa carte bleue en mer et la voir revenir toute seule à l’auberge
– c’est commencer Clandestino par un jeté de son chausson en mer, et enchaîner par une séance de plongée sous-marine pour le repêcher
– c’est descendre dans le Devenson avec 2 cordes et en remonter avec 4
– c’est partir sans ses chaussons et se faire un petit trail matinal pour rattraper le coup
– c’est commencer la journée à la plage et la finir au coin du feu
– c’est tester la robustesse de son pantalon et montrer le meilleur de soi au reste du monde
– c’est avoir besoin d’un peu de café pour pouvoir se faire un bon café
– c’est l’histoire d’un riz au lait qu’on a jamais eu…
– c’est des nuits au calme (avec des souris et des sangliers imaginaires)
– c’est partir grimper au lever du soleil et revenir à la tombée de la nuit
– c’est tâter un rocher magnifique, varié avec ambiance garantie et finalement pas trop de patine. Mentions spéciales pour les grandes voies suivantes : Sur les traces de Gaston, Et la mer profonde et bleue, La promesse des profondeurs, Etat d’urgence, Clandestino, Gaz à tous les étages.